Des choses
L'appel vise à réaliser des interventions visant à : - rationaliser l'utilisation des matières premières en remplaçant les matériaux non renouvelables par des matériaux renouvelables, recyclés, recyclés en permanence, biodégradables et compostables - valoriser les sous-produits industriels et leur réintroduction dans la valeur chaîne , en soutenant les activités de valorisation des déchets et les entreprises qui utilisent des matières premières secondaires, également à travers des initiatives de symbiose industrielle - améliorer l'efficacité de la production en réduisant la consommation de ressources et de déchets de transformation ou en veillant à ce que ceux-ci soient gérés comme sous-produits - permettre un démontage plus facile des différents composants d'un produit également en relation avec les types de matériaux utilisés, favorisant ainsi leur récupération, traitement et recyclabilité - prolonger la durée de vie du produit lui-même, en promouvant des pratiques d'éco-conception durable des produits, en créant des produits et des composants avec une plus grande réparabilité et maintenance index, afin de permettre le remplacement de pièces technologiquement obsolètes/endommagées ou de permettre la réutilisation du produit, même après une éventuelle maintenance.
À qui s’adresse-t-il ?
Aux MPME
Que prédit-il
L'appel d'offres prévoit des prestations sous forme de prêt bonifié combiné à une contribution non remboursable et une réduction des coûts de garantie pouvant aller jusqu'à 80%, pouvant être portée à 90% pour les entreprises situées dans les communes non côtières de les dépenses éligibles pour les interventions de conversion de l’activité commerciale d’une approche linéaire à une approche circulaire. Sont éligibles au financement les coûts suivants : - travaux de construction et d'installations (dans la limite de 10 % de l'investissement global) ; - achat de machines, d'installations et d'équipements de production - conseils (dans la limite de 40 % de l'investissement global) ; ;-achat de logiciels, brevets, licences, savoir-faire (dans la limite de 20% de l'investissement global) ;-coûts indirects (jusqu'à 7% des coûts directs éligibles).