Des choses
Il s'agit d'une contribution en faveur de l'employeur qui active des contrats de solidarité défensive ou d'autres accords collectifs d'entreprise qui établissent une réduction du temps de travail, afin de favoriser le maintien de l'emploi des personnes employées dans des entreprises en situation de crise. Sont exclus les employeurs qui bénéficient de la contribution provinciale extraordinaire pour les projets de réorganisation d'entreprises visant à stabiliser l'emploi en vertu de la LP no. 2 de 2009, art. 2 paragraphe 3.
À qui s’adresse-t-il ?
A l'employeur qui active des contrats de solidarité défensive ou d'autres accords collectifs d'entreprise qui établissent une réduction du temps de travail, afin de favoriser le maintien de l'emploi des personnes employées dans des entreprises en situation de crise.
Que prédit-il
L'octroi d'une cotisation annuelle, d'une durée maximale de deux ans, est quantifié en fonction du nombre d'emplois et de l'ampleur de la réduction du temps de travail par rapport à l'effectif déclaré en sureffectif et est calculé comme le moindre des montants suivants : valeurs résultant de l'application de la méthode de calcul suivante : - 2 mille euros par an pour chaque emploi (proportionné en cas de temps partiel) conservé avec l'activation de contrats de solidarité défensive ou d'autres accords collectifs d'entreprise qui établissent une réduction du durée du travail ; - 2 mille euros par an pour chaque salarié (proportionné en cas de temps partiel) participant à des contrats de solidarité défensive ou autres accords collectifs d'entreprise qui établissent une réduction de la durée du travail et par rapport à la réduction moyenne de la durée du travail. L'octroi de la contribution est soumis à l'autorisation par les organismes compétents des contrats de solidarité défensive ou des accords collectifs d'entreprise. En cas de licenciement pendant la durée de validité de la convention, la cotisation est réduite proportionnellement.